On ne présente plus l’œuvre cultissime d’Akira Toriyama. La série des Dragon Ball a su conquérir les cœurs de nombreuses générations. Même aujourd’hui, on continu à glorifier cette œuvre absolument magistrale. Et pour un nombre assez important de fans, la partie la plus incroyable est sans nul doute « Dragon Ball Z » célèbre pour ses combats dantesques avec des antagonistes toujours plus impressionnants les uns que les autres.
Voici 5 choses qui ont forgé l’identité de cette série mythique.
It’s Over 9000 …
– Vegeta
Des combats d’un dynamisme sans pareil :
Lorsqu’on évoque la série de Dragon Ball Z, on pense immédiatement à des combats ardus, opposant nos héros préférés à des méchants iconiques du Shonen Jump. Lors de ces confrontations pour le moins épiques, on ne peut être que sublimés par le rythme des combats. Des enchaînements de combos de coups de poings et de coups de pieds, des déferlements de vagues d’énergies « Ki », des déplacements plus rapides que la lumière elle-même et un panel de techniques propres à chaque personnage. Bref, une véritable poésie de baston comme on en voit rarement dans les animes.
Les transformations en Super Sayajin, mais pas que !
Nous tous, fans de Dragon Ball Z, savons que la marque de fabrique de cette série est la fameuse transformation du Super Sayajin. Nous avons tous ressenti des frissons, lorsque Songoku s’est transformé pour la première fois en Super Sayajin face à Freezer. Cette transformation fut un coup de génie de Toriyama, car en instaurant ce détail scénaristique très simple, il put justifier le Power-Up des différents personnages appartenant à la race des Saiyans.
De plus, ces transformations ont été davantage sublimées tant bien par une écriture simple certes, mais plutôt efficace, que par une mise en scène qui l’est tout autant. Des cris assourdissants, des émotions fortes, un entrainement acharné et surtout un design sublime, sont la formule miracle d’une telle prouesse « Mention spéciale pour le Super Saiyajin 3 qui est juste légendaire ».
Et à côté de cela, nous avons aussi eu le droit à des transformations du côté des antagonistes principaux.
Le premier méchant principal de l’arc Namek connu de tous, le tyran « Freezer », pouvait littéralement changer de morphologie et gagner en puissance au fur et mesure de ces transformations. Cell quant à lui est un cyborg avec un corps organique qui a pu atteindre sa forme parfaite en absorbant C17 et C18. Mais faut dire qu’on a été vraiment gâté avec les métamorphoses de Buu, qui ne cessait son ascension vers une forme dénuée de toute conscience, on parle bien évidement de « Kid Buu ». Une transformation qui même aujourd’hui est sujet à débat, est-elle la forme la plus puissante de Majin Buu ou est-ce Buuhan « Après avoir absorber Ultimate Gohan » qui l’emporte finalement en terme de puissance ? Un débat à qui on consacrera un article dédié tant il y a de choses à clarifier.
La rivalité entre Goku et Vegeta
Dès son apparition dans l’œuvre, Vegeta a su conquérir le cœur des fans de Dragon Ball Z. C’est un guerrier d’élite considéré par les siens comme étant le combattant le plus puissant de sa génération, si on exclut Broly bien évidement. En plus d’être un puissant guerrier, Vegeta est doté d’un sens de l’analyse très poussé et n’agit pas sans réfléchir, tout le contraire de son compagnon Nappa, qui se fera éliminé par ce dernier, ce qui atteste de sa brutalité et de son insensibilité, du moins durant l’arc des Saiyans.
Mais sa confrontation avec Goku fera office de révélation, celle qu’il n’est pas le Saiyan le plus fort loin de là, car selon les dires de Goku, même un guerrier de bas étage comme lui peut battre un guerrier d’élite, s’il se donne à fond et s’entraine durement. En somme, l’effort surpasse le talon.
Un tel affront ne pouvait être toléré par Vegeta, lui qui était le prince de tous les Saiyans, lui l’élite parmi les élites, lui qui était tellement fier, se fait plaquer par la dure réalité des choses. Tout ceci anima une animosité sans pareil face à celui qui a osé le défier et le vaincre, désormais il ne vivait que pour vaincre Songoku et regagner sa dignité perdue. Naquit alors une rivalité des plus incroyable, celle de deux combattant hors pairs, qui se disputeraient la première place, celle du guerrier ultime.
Cette notion de rivalité entre Songoku et Vegeta, inspirera d’autres mangakas qui utiliseront le même concept pour pimenter un peu leurs ouvrages. Car rappelons-le, Dragon Ball Z est l’un des mangas ayant instauré les bases du Shonen Nekketsu.
Les techniques toutes aussi incroyables les unes que les autres
Dragon Ball Z est un Shonen, et en tant que tel, le ou plutôt les héros ont tous développé des techniques plus incroyables les unes que les autres. L’intérêt de ces techniques est d’apporter une diversification lors des très nombreuses confrontations qui s’enchainent parfois sans relâche.
Les techniques les plus iconiques de cette œuvre sont très certainement le Kamehameha la technique ultime de Muten Roshi ou tortue géniale dans la version française, le Shunkan idō l’une des techniques phare de Goku, le Makankô Sappô la technique signature de Piccolo, le Big Bang Attack et le Final Flash de Vegeta, les différentes transformations de Super Sayajin ou encore le Kienzan la technique mortelle ultra dangereuse de Krilin, eh oui le petit chauve n’est pas à prendre à la légère.
Des antagonistes légendaires
Il faut bien l’avouer, les méchants dans Dragon Ball Z sont diablement efficaces dans leurs rôles et apportent de véritables challenges à nos héros. Si parfois les enjeux nous paraissent un poil exagéré, comme par exemple la destruction pure et simple de la planète pour une raison qui, soyons honnête parait dans un premier temps absurde, il n’en est rien.
L’exemple le plus marquant est le personnage de Freezer, l’un des méchants les plus marquants du Shonen Jump. En effet ce tyran autoproclamé roi de l’univers a des motivations plus sérieuses et bien plus profondes que les autres antagonistes de l’œuvre, c’est un commerçant intergalactique, un business man en somme et qui cherche à détenir la vie éternelle pour régner sans partage sur l’univers en entier. Pour cela, il part à la recherche des Dragons Balls, manque de bol pour lui, nos héros se mettront en travers de ses ambitions, ce qui fera d’eux sa cible principale ainsi que leur planète d’origine. On ressent sa détermination et son ressentit tout au long de l’arc qui lui est dédié, car scénaristiquement parlant, il existe bel et bien une cohérence et les enjeux de l’arc Namek sont justifiés.
Conclusion
Dragon Ball Z est une œuvre cultissime incontournable, une véritable pépite dans le monde de l’animation japonaise. Elle a tellement marqué les esprits de par le monde qu’elle est devenu culte et ce depuis des décennies déjà. Il faut bien l’avouer, Toriyama est un artiste un génie de l’écriture simple et efficace et son style de dessin et ses talons de chara-designer lui font éloge.
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